Etrangement aucun média ne s'est intéressé à ces véritables étude épidémiologiques finalement rassurantes d'un point de vue sanitaire.
http://www.irsn.fr/FR/connaissances/Installations_nucleaires/Les-accidents-nucleaires/accident-fukushima-2011/fukushima-2015/Pages/3-consequences-sante-accident-nucleaire-Fukushima-2015.aspx?dId=35dae64a-182a-4349-ba27-211b58261fed&dwId=cd295740-164d-4b78-#.VQ7_qktQyqQ
La version rêvée de la démocratie pour les écologistes, consiste à confisquer la démocratie représentative et à laisser les ONG environnementales, sans aucune légitimité élective, bloquer toutes les décisions qu'elles jugent non conformes à la survie de la planète. Elles pourraient prétendre "parler au nom du bien public, pour une cause, et non pour quelques intérêts aussi limités que privés, sans pour autant être électoralement validés". Le WWF, Greenpeace, la FNH, "sensibles à la beauté et à l'intégrité des choses naturelles", auraient une sorte de droit de veto sur toutes les décisions essentielles. Ainsi s'exprime Dominique Bourg, philosophe et membre de la Fondation Nicolas Hulot (Démocratie, le défi écologique. Les grands dossiers des Sciences Humaines, n° 19, juin-juillet 2010). Autant dire que nul n'est pressé de voire arriver ce genre de "démocratie écolocrâtique" |
A tout seigneur, tout honneur. Greenpeace est bien en première ligne ... pour le business, la désinformation, l'intimidation et le bidouillage à tous les niveaux. Son infiltration dans les plus hautes sphères décisionnelles étatiques et internationales en fait un acteur idéologique de premier plan qui n'hésite devant aucun moyen pour imposer sa vision du monde. L'écologie pourrait très bien se passer de cette ONG de l'indignation sélective, brassant des millions d'euros pour la bonne cause, sans aucun mandat électif et sans dogmatisme bien entendu. |
La multinationale du Saint Panda ne fait pas dans la dentelle question greenwashing. La morale c'est pour les autres. |